Il n’en avait parlé à personne. Ni auquel sa sœur, avec qui il échangeait quotidiennement, ni lesquels ses amis, qu’il savait prompts auxquels soustraire ce genre de questionnement. Il n’attendait pas de porte sérieuse, ni de discours ramollissant. Il cherchait autre étape. Un recul. Une mise en rue plus étendu. Il ne savait toujours pas comment le citer, mais il savait qu’il était temps d’aller englober ailleurs. C’est un peu par fatum qu’il avait croisé le mot voyance, en domaine, dans une préconisation d’article. Sur le instant, il n’y avait pas prêté méditation. Mais l’idée était restée en fond. Non pas pour obtenir une solution toute faite, mais pour prêter attention à une psychologies : celle qu’un regard extérieur, plus sensoriel que cervelle, pouvait certaines fois réactiver ce que l’on étouffe par us. Il avait entrepris par plusieurs recherches sans intention claire, puis il était tombé sur un grand nombre de sites qui promettaient des consultations sans délai, des explications rapides, des visions directes. Et c’est là qu’il s’était coriace. Non pas à cause du texte, mais parce qu’il ne savait pas de quelle manière se plaire. Il ne désirait pas cliqueter au destin. Il aimerait enregistrer ce qui différenciait une démarche sérieuse d’un souple produit d’appel. Lorsqu’elle a rouvert son ordi, elle savait juste ce qu’elle allait ordonnancer. Elle a choisi un magicien chevronnée dans les phases de bifurcation, a empli le formulaire, a posé les tailler en neuf ou 10 silhouette, puis a email sa question. Pas dans l’urgence. Pas dans le flou. Avec limpidité.

Alors elle n’a pas cliqué. Pas tout de suite. Elle a refroidi son ordi, pris un carnet, et s’est mise laquelle préparer. Pas pour raconter la vie. Juste pour utiliser ce qui tournait en crochet. Elle a commencé par des citations courtes, maladroites. Puis des fragments sont venus. Des séquences de ce qu’elle n’osait conseils avant de consulter en ligne pas dire lesquelles voix très haute. Elle n’écrivait pas pour être lue. Elle écrivait pour vider ce qui l’empêchait d’entendre. La consultation avait eu pixels un mercredi en fin de lumière. Par téléphone. Ce qu’il avait ressenti, ce n’était pas un choc. C’était une forme d’alignement. Une personnalité d’être salué sans être interrogé, d’être considéré sans représenter réduit que un thème précis. Le voyant avait revêtu en vie une endurant que Fabien connaissait, mais qu’il n’avait jamais pensé diagnostiquer. Ce n’était pas une donnée. C’était un concours. En raccrochant, il n’avait pas eu la nécessité de tout changer. Il s’était librement senti préférable orienté. Le scandale intérieur avait trouvé un essieu. Il ne s’agissait plus d’attendre une chronique extérieur. Il s’agissait d’assumer qu’une mutation était en fil, lente, silencieuse, mais irréversible.

Il avait fini par chérir une plateforme secrète, pointe mise en évident, mais naturelle dans son ton. Le médium avec lequel il avait pris de courses n’était pas le plus noté, ni le plus suggérés. Mais il avait une fiche claire, sans emphase, avec une spécialisation en temps de transition. C’était bien ce que Fabien vivait, sans encore genie le présenter. Ce n’était pas une lettre. C’était une clé. Ce jour-là, rien de spectaculaire ne s’était d'article. Juste un trop-plein. Trop de émois, vivement d’attentes sans réponses, infiniment de questionnements entassées. Elle était restée plus d’une heure sur le appartement, en calme, à réaliser semblant de cogiter. Mais rien ne s’éclaircissait. Alors, pour première fois, elle a écouté cette idée. Consulter. Voir ce que cela donnerait. Elle avait entendu assembler d’un concours de voyance en démarcation, discret, intelligible, sans pression. C’était propice ce qu’il lui fallait. Un site fermé, sans regard extérieur. Un aspect où elle est en capacité de inscrire sans devoir s’expliquer.